Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Gouvernance

Faites connaissance avec notre conseil d’administration et nos conseillers

Aperçu de la gouvernance

Génome Canada a été créé en février 2000 aux termes de la Loi sur les corporations canadiennes et a reçu, en 2012, de nouveaux statuts de prorogation en vertu de la Loi canadienne sur les organisations à but non lucratif. Le conseil d’administration de Génome Canada, composé de personnes provenant des milieux universitaires et des secteurs privé et public, met à profit une expérience et une expertise diversifiées pour faire progresser notre mission d’améliorer les vies et de renforcer les communautés par la recherche et l’innovation en génomique appliquée.

Notre conseil se compose d’un maximum de 16 personnes. Chaque administratrice ou administrateur est nommé pour un mandat de deux ans, renouvelable jusqu’à un maximum de six ans. Les présidents des cinq organismes fédéraux de financement de la recherche sont des conseillers d’office sans droit de vote du conseil d’administration.

Comités du conseil :

Conseil d’administration

Secrétaire général

Conseillers d’office

Les présidents des cinq principaux organismes fédéraux de financement de la recherche (Instituts de recherche en santé du Canada, Fondation canadienne pour l’innovation, Conseil national de recherches Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada et Conseil de recherches en sciences humaines) sont conseillers d’office du conseil d’administration.

Comité consultatif science et industrie (CCSI)

Le CCSI est un comité permanent du conseil d’administration de Génome Canada. Il a pour fonction de fournir des avis et des recommandations à ce dernier sur les sujets suivants :

  • les nouvelles possibilités et les nouveaux enjeux de la recherche scientifique, ainsi que les secteurs potentiels d’investissement en génomique et les activités liées à la Génomique dans la société, y compris la recherche GE3LS au Canada; 
  • les tendances internationales, les faits nouveaux et les collaborations nationales et internationales possibles;
  • les secteurs d’importance stratégique, sociale et économique pour le Canada;
  • l’application des résultats de la recherche en génomique y compris, sans s’y limiter, la commercialisation, le transfert du savoir, l’élaboration des politiques, et les avantages sociaux et économiques.