Home / Combler l’écart émergeant de la génomique
Generating solutions
(En anglais seulement.)
- Reports and articles that address world-wide biotechnology issues.
- Number of research personnel employed by the project: 5 graduate students, 2 post-doctoral fellows, 19 research associates and assistants, and 12 undergraduate students.
- Number of peer reviewed publications published: 17, plus 12 books and monographs, and 5 book chapters.
- Number of public
- outreach events held: 49 lectures, 1 public forum, media coverage – 118.
- Co-funders: International Development Research Centre, National Institutes of Health, Indian Council for Medical Research, University of Guelph, Merck Frosst, Ontario Centre for Agricultural Genomics, World Health Organization (EMRO), United Nations University (BIOLAC), Pan American Health Organization and the Keck Graduate Institute.
Status
Competition
Genome Centre(s)
GE3LS
Project Leader(s)
- Peter Singer,
- Abdallah Daar,
Fiscal Year Project Launched
Project Description
Projet GE3LS à grande échelle autonome.
Ce projet compte deux volets : d’abord, réaliser des recherches qui garantiront que les pays en développement partagent les bienfaits de la révolution génomique (et ainsi éviter un « écart génomique » semblable à l’« écart numérique » associé à la technologie de l’information).
Deuxièmement, il s’agit de faire contribuer la recherche sur les enjeux éthiques, environnementaux, économiques, de droit et de société liés à la génomique aux travaux de recherche en génomique de la santé et en génomique de l’agriculture.
Les chercheurs étudient les stratégies éthiques employées par les multinationales pharmaceutiques et biotechnologiques, formulent des recommandations sur des pratiques exemplaires, créent un cadre éthique pour la génomique s’appliquant à la nutrition (nutrigénomique), réalisent des études de cas de l’ « Enviro-Pig »; donnent des cours sur la génomique et la santé mondiale et élaborent une Commission de la génomique et de la santé mondiale.
Ce projet est dirigé par des scientifiques du Joint Centre for Bioethics de la University of Toronto et de l’Université de Guelph.