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Nouveau soutien financier pour le Consortium de génomique structurelle et la science ouverte

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Un investissement de 33 millions de dollars favorisera les découvertes scientifiques qui mèneront à des soins salvateurs pour les patients

Les chercheurs canadiens sont à l’avant-garde de la science ouverte et rendent publiques leurs recherches pour que d’autres chercheurs, des entreprises en soins de santé, des médecins et le personnel infirmier puissent rapidement utiliser l’information pour élaborer des soins salvateurs pour les Canadiennes et les Canadiens. Le gouvernement du Canada appuie cette approche ouverte et axée sur la collaboration en matière scientifique parce qu’elle donne de bons résultats qui améliorent notre santé, notre environnement, notre économie et nos communautés.

L’honorable Kirsty Duncan, ministre des Sciences, a annoncé aujourd’hui un nouvel investissement de 33 millions de dollars pour appuyer le Consortium de génomique structurelle (CGS) – un partenariat public-privé international, dirigé par des Canadiens, qui effectue de la recherche fondamentale sur la structure des protéines humaines et rend ses recherches publiques pour accélérer la découverte de médicaments et aider  les patients partout dans le monde.

La ministre a fait cette annonce au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario où l’équipe du projet Care for Rare étudie un trouble convulsif rare, l’une des quelque 7 000 maladies rares qui touchent environ un million de personnes au Canada. Dans le cadre de cette collaboration scientifique ouverte, les chercheurs travaillent avec des médecins et des patients pour découvrir les racines de la maladie infantile et des moyens de la soigner le mieux possible.

Ce tout dernier investissement dans la quatrième phase des activités du CGS au Canada, menées principalement à l’Université de Toronto, est constitué de 11 millions de dollars de fonds fédéraux, par le truchement de Génome Canada, de 5 millions de dollars du gouvernement de l ‘Ontario et de 17 autres millions de dollars investis par des sociétés pharmaceutiques.  Il contribuera à transformer les découvertes scientifiques en traitements pour les patients atteints de diverses maladies dont le cancer, la SLA, la maladie de Huntington, le paludisme et la tuberculose.

Citations

« Le gouvernement du Canada est heureux de renouveler son investissement de longue date dans le Consortium de génomique structurelle. L’initiative est avant-gardiste en matière de science ouverte et démontre l’énorme potentiel d’innovation qu’engendrent les collaborations scientifiques fructueuses, de même que les bienfaits pour les patients au Canada et ailleurs dans le monde. Nous sommes fiers d’appuyer ces projets qui exercent une influence tangible et positive sur notre santé, notre économie, nos communautés et la classe moyenne grandissante. »

– Honorable Kirsty Duncan, ministre des Sciences

« L’Ontario appuie depuis longtemps le Consortium de génomique structurelle et la science ouverte. L’apport des chercheurs de notre province et de projets comme CARE for RARE au CGS et à la science ouverte contribue à la découverte de nouveaux médicaments améliorés, de coût abordable. »

Honorable Reza Moridi, ministre de la Recherche, de l’Innovation et des Sciences

« Le CGS a démontré qu’il savait atteindre ses objectifs. Des hôpitaux canadiens se joindront au CGS au cours des prochaines années pour étendre son réseau de science ouverte. Ce dernier renforcera notre capacité de trouver de nouvelles cibles médicamenteuses et stratégies thérapeutiques pour des maladies telles que le cancer, les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin et les maladies neurodégénératives comme la maladie de Huntington. »

– Marc LePage, président et chef de la direction, Génome Canada

« Pour bon nombre de personnes, l’heure du Canada est arrivée. Par cet investissement dans le Consortium de génomique structurelle à l’Université de Toronto, Génome Canada et ses partenaires nous permettront, à nos collaborateurs et à nous, de maintenir le rôle de chef de file que joue le Canada en science ouverte, pour que les chercheurs partout dans le monde puissent, plus rapidement, mettre au point de nouveaux médicaments. »

– Aled Edwards, Ph. D., PDG, Consortium de génomique structurelle

Faits en bref

  • On considère le CGS comme un pionnier de la science ouverte. Depuis sa création en 2004, ce Consortium a eu pour principe de base de partager tous ses résultats et extrants de recherche sans en restreindre l’utilisation et sans déposer de brevet. Cette approche évite le gaspillage et le dédoublement des efforts et stimule l’innovation en facilitant les échanges scientifiques sans les entraves des questions de propriété intellectuelle.
  • La direction du CGS se trouve à Toronto. Le Consortium compte des sites jumeaux partout dans le monde et intéresse un nombre sans cesse grandissant de partenaires des secteurs publics et privé qui collaborent pour améliorer la vie des patients partout dans le monde.
  • Jusqu’à maintenant, huit sociétés pharmaceutiques collaborent aux activités du CGS et en sont des cobailleurs de fonds. Jusqu’à maintenant, le CGS a engendré plus de 25 essais cliniques et la création de nombreuses jeunes entreprises.

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Relations avec les médias

Nicola Katz
Directrice, Communications
Génome Canada
Cell. : 613-297-0267
nkatz@genomecanada.ca

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