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Validation de récepteurs de TAC capables de s’attaquer aux tumeurs liquides et solides

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Generating solutions

Status

Active

Competition

Genomic Applications Partnership Program

Genome Centre(s)

GE3LS

No

Project Leader(s)

Fiscal Year Project Launched

2017-2018

Project Description

Les immunothérapies ont beaucoup de potentiel pour ce qui est d’utiliser le système immunitaire pour attaquer les cancers. Elles sont efficaces chez certains patients, mais inefficaces chez d’autres patients, par contre, et même si elles donnent de bons résultats, les immunothérapies peuvent s’accompagner de graves effets toxiques, parfois mortels. Les immunothérapies les plus prometteuses sont basées sur les lymphocytes T, des cellules du système immunitaire, en particulier des lymphocytes T modifiés appelés chimeric antigen receptor T-cells (CAR T-cells) qui s’avèrent très efficaces dans le traitement des cancers terminaux, mais qui peuvent aussi avoir des effets toxiques mortels importants.

Jonathan Bramson, Ph. D., de l’Université McMaster, travaille avec Triumvira, une jeune société canadienne de biotechonologie, au perfectionnement de la plateforme de fabrication de lymphocytes T de cette société, le T-Cell Antigen Coupler (TAC) (coupleur d’antigènes de lymphocytes T). La plateforme a déjà démontré une efficacité équivalente ou supérieure à d’autres plateformes de CAR et une innocuité encore plus grande. La plateforme de TAC est, par contre, limitée principalement par l’accès à des nouveaux domaines de liaison. Le financement de Génome Canada servira à valider les récepteurs de TAC porteurs de nouveaux domaines de liaison mis au point dans le laboratoire de M. Bramson au Centre for Commercialization of Antibodies and Biologics. Triumvira commercialisera ensuite les domaines fructueux en collaboration avec des sociétés pharmaceutiques.

Le principal avantage pour le Canada à court terme en sera de nouveaux emplois et de nouveaux investissements en capital. Dans les trois à cinq ans qui suivront la fin du projet, il y aura des essais cliniques chez les humains, ce qui offrira ainsi de l’espoir à des patients atteints de cancer qui n’auraient autrement aucune option de traitement.

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